elle etait fort deshabillée
et de grands arbres indiscrets
aux vitres jetaient leur feuillée
malinement tout près tout près
Assise sur ma grande chaise
Mi nue elle joignait les mains
Sur le plancher frissonnaient d'aise
Ses petits pieds,si fin,si fin.
Je regardai,couleur de cire,
un petit rayon buissonier
Papillonner dans son sourire
Et sur son sein,mouche au rosier.
Je baisai ses fines chevilles,
Elle eut un doux rire brutal
Qui s'égrénait en claires trilles
Un joli rire de cristal.
JE ME SOUVIENS QUE CE N'ETAIT PAS MARTINE INTERMARCHE CAR ELLE RAYONNAIT.
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